Un parent cheminot, la présence d’une gare ou d’une voie ferroviaire dans le voisinage de nos ancêtres, le souvenir d’un voyage bucolique en train… Tout nous ramène à la SNCF ou aux compagnies de chemin de fer qui l’ont précédée. C’est une invitation supplémentaire à embarquer dans l’exploration de leurs archives, à la fois denses et lacunaires, pour enrichir notre histoire familiale.

D’approche assez touffue, au risque de dérouter plus d’un internaute, le site Internet du Service historique de la Défense regorge d’informations essentielles pour préparer vos recherches généalogiques à mener ensuite dans les différents sites de cette institution devenue incontournable. Page d’accueil, présentation de l’institution, instruments de recherche, informations pratiques… nous vous disons tout.

Voici une série qui nous plonge dans le quotidien post-révolutionnaire de nos ancêtres. Les archives de la justice de paix donnent de nombreux indices sur la composition familiale, les biens possédés, les relations de voisinage ou encore les répercussions des évènements historiques.

Les bibliothèques numériques donnent accès à une gigantesque quantité de biographies, de journaux anciens, de notices historiques, de magazines et autres documents nécessaires à la pratique de la généalogie. Nous vous invitons à découvrir une sélection de 17 bibliothèques dont vous ne pourrez plus vous passer : Gallica, Rosalis, Normannia, Numelyo, Bretania, La catalane et bien d’autres…

Mondialisation, dématérialisation, développement des réseaux sociaux… la pratique de la généalogie évolue avec son environnement. À l’aune de ces bouleversements sociétaux, les besoins et les outils des chercheurs en matière d’entraide sont-ils les mêmes aujourd’hui qu’hier ? Nous dressons un panorama des nouvelles solidarités entre généalogistes : groupes Facebook, Twitter, les traditionnels forums, services dédiés…

Au-delà de la recherche de vos ascendants, l’accès à de nombreuses ressources d’archives en ligne encourage un travail plus large sur l’histoire familiale, et sur celle des collatéraux en particulier : faire-part, états civils, tables décennales, recensements, tables de décès, actes notariés… Une enquête sur les fratries qui nécessitera, comme toujours, méthode et rigueur.

Cambriolage, incendie, dégât des eaux, surtension, corruption du fichier, panne du disque dur… Les fruits de nos recherches généalogiques ne sont pas à l’abri d’une disparition brutale. Pour être sûr de ne rien perdre des résultats obtenus après de longues heures d’investigation, chacun doit prendre les mesures nécessaires à la protection de ses travaux en sauvegardant ses données : formats, organisation, fréquence et pérennité, accessibilité et praticité, cloud, solutions intégrées...

Les Archives nationales offrent un espace de recherche sur Internet appelé la Salle des inventaires virtuelle. Un nom un peu réducteur, car au-delà des 24 000 inventaires disponibles en ligne, les généalogistes peuvent également y consulter plus de 8 millions d’images numériques… Bases de données, répertoires des notaires parisiens, interroger les inventaires indexés, consulter les résultats, utiliser la recherche avancée…