Les Archives de Paris viennent d’ouvrir leur portail unique où sources numérisées côtoient instruments de recherche et guides documentaires. Un site qui va vite s’imposer comme incontournable pour réaliser sa généalogie dans le contexte difficile de la Capitale. Les documents numérisés, les fiches d’aide à la recherche, comment bien utiliser les inventaires en ligne.

Pour trouver les bonnes informations, il est important de mener les bonnes recherches, avec les bonnes clés et au bon endroit. Cet adage du généalogiste est autant valable en service d’archives que sur le moteur de recherche Google. Voici une sélection d’astuces pour arriver au plus vite à votre but et profiter au mieux des ressources disponibles sur Internet pour votre généalogie.

À qui appartient réellement ce joli registre du XVIIIe siècle à vendre sur l’étal d’une brocante ou sur un site d’enchères en ligne ? Sort-il des collections d’archives ? Comment vérifier et réagir ? Les archivistes, tout comme les généalogistes, disposent d’une palette d’outils… à utiliser avec discernement.

La géographie est indissociable de la généalogie. Plus qu’une simple localisation des ancêtres, l’étude des territoires où ils vivaient aide à comprendre leur environnement et facilite leur recherche.

Parfois négligés, les registres de catholicité post-concordataires d’après la Révolution permettent pourtant le cas échéant de pallier les lacunes de l’état civil ou de débloquer une recherche. Plus largement, ils étayent une histoire familiale. Les dates-clés, où chercher, les mentions, la communicabilité, les sites Internet…

Chaque généalogiste sait qu’un acte de décès n’apporte en lui-même que peu d’informations pour remonter une filiation, surtout sous l’Ancien Régime. Celui qui a des ancêtres marins, et, dans un cadre plus large, des ancêtres qui ont voyagé outre-mer, peut connaître encore plus de difficultés. Les institutions, les procédures, les documents maritimes, les décès à l’hôpital, les expéditions, les naufrages, les faits de guerre…